Parc national Aoraki/Mount Cook, parc, centre-ouest de l’île du Sud, Nouvelle-Zélande. Créé en 1953, il a une superficie de 273 miles carrés (707 km carrés) et a une frontière occidentale commune avec le parc national de Westland. Le parc s’étend sur environ 65 km le long de la crête des Alpes du Sud. Au point le plus large du parc, la limite orientale se trouve à 16 km de la ligne de partage des eaux des Alpes du Sud. Quelque 27 pics s’élevant à plus de 3 000 mètres (10 000 pieds) se trouvent dans le parc. Le mont Cook (Maori : Aoraki), le point culminant de la Nouvelle-Zélande à 12 316 pieds (3 754 mètres), domine les vallées, les glaciers et les sommets environnants.
Plus d’un tiers du parc est couvert de neige permanente et de glace glaciaire. La Tasman, la Godley et la Murchison sont les principales rivières, étant l’exutoire des glaciers du parc portant les mêmes noms. Les arbres comprennent le hêtre, le tussock, le ribbonwood, les broussailles alpines, les marguerites arboricoles et le pin céleri. On y trouve le kea (perroquet alpin), le roitelet, le bush hawk, le pipit, le pigeon, le fantail, la fauvette et un certain nombre d’autres variétés d’oiseaux. La vie animale comprend le tahr (un type de chèvre sauvage), le chamois, le cerf rouge et le chat sauvage. L’alpinisme, le ski, la chasse et la randonnée sont autant de loisirs pour les visiteurs. Le parc national d’Aoraki/Mount Cook fait partie de la région de Te Wahipounamu (sud-ouest de la Nouvelle-Zélande), qui a été désignée site du patrimoine mondial de l’UNESCO en 1990.