Nom scientifique : Eolophus roseicapillus
Noms communs : Cacatoès rosé, Cacatoès à poitrine rose
Longueur adulte : 34cm (13½ in) : les mâles sont généralement plus grands
Poids adulte : 300g à 400g
Durée de vie potentielle : 50 ans
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Statut dans la nature : commun
Origine : Australie — presque tout le continent, y compris la Tasmanie
Sexe : L’iris de l’œil est brun foncé à noir chez la plupart des mâles et rouge foncé ou brun rougeâtre chez la plupart des femelles. Cependant, ce n’est pas une règle invariable, aussi le sexage par l’ADN est la méthode la plus sûre.
Tempérament : Généralement moins nerveux, moins excitable, plus indépendant et moins affectueux que les cacatoès blancs. Cependant, certains Galahs font des animaux de compagnie amusants et affectueux.
Le fait qu’ils soient plus indépendants pourrait être lié à la biologie de l’élevage : les jeunes ne passent que sept semaines au nid (14 semaines chez le Cacatoès moluque) et sont en compétition avec jusqu’à cinq frères et sœurs (dans la nature probablement un seul Moluque s’envolerait).
Dans la nature, les jeunes Galahs commencent à se nourrir seuls dans le mois qui suit l’envol et sont indépendants après six ou sept semaines. (Les Cacatoès moluques passent probablement près d’un an avec leurs parents.)
Suitability as a Companion Bird:
Non recommandé à moins que l’acheteur ne soit prêt à prendre un peu de peine avec le régime alimentaire et permette au Cacatoès d’être pleinement ailé avec un exercice de vol quotidien dans la maison.
La raison en est que les Galahs sont extrêmement sensibles à l’obésité, généralement causée par un régime alimentaire incorrect et un manque d’exercice. Cela se traduit par la croissance de tumeurs graisseuses, généralement sur l’abdomen.
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Un ami vétérinaire en Australie m’a parlé d’un Galah qui pesait 504g (18oz). Il était tellement gros qu’il a dû être euthanasié. Après avoir retiré toute la graisse sous-cutanée, il pesait 405g.
Il y avait des infiltrations graisseuses dans certains organes, notamment le foie. Au Royaume-Uni, j’ai entendu parler d’un Galah de trois ans qui est mort, également à cause d’un régime alimentaire incorrect.
Inconvénients : Comme il est normal chez les Cacatoès, les Galahs sont très destructeurs et peuvent causer beaucoup de dégâts aux meubles ou aux portes et cadres de fenêtres en bois. Ils ont un grand besoin de ronger et devraient avoir un approvisionnement deux fois par semaine de branches coupées de saule ou de pommier.
Ils apprécient beaucoup les branches d’eucalyptus. Il est recommandé de planter de l’Eucalyptus gunni. Il est facilement disponible dans les jardineries au Royaume-Uni et sa croissance est extrêmement rapide.
Gardez un Galah occupé avec ces jouets.
La voix forte et rude est un autre inconvénient. Il faut y réfléchir soigneusement avant d’acheter l’oiseau. Les Galahs apprennent souvent à imiter quelques mots mais la capacité de » parler » est limitée.
Conseils d’achat : Certains éleveurs donnent aux acheteurs un certificat d’éclosion qui vous indique la date d’éclosion de l’oiseau et son numéro de bague. Tous les éleveurs sérieux baguent leurs jeunes mais peu d’éleveurs, voire aucun, vendent des jeunes avec un certificat de santé.
Un contrôle vétérinaire pourrait être envisagé par l’acheteur, surtout pour les Galahs de mutation à prix élevé, si l’éleveur est d’accord. Cependant, un éleveur réputé devrait accepter de faire un test de dépistage du PBFD, par exemple, mais vous devriez le payer.
Ce test consiste à arracher quelques plumes de poitrine ou à prélever une très petite quantité de sang et vaut la peine d’être envisagé pour toutes les espèces de cacatoès. Un éleveur ne tiendrait probablement pas compte des résultats des tests effectués après que l’oiseau a quitté ses locaux, car il pourrait dire que l’oiseau a contracté la maladie après son départ. Bien sûr, pour votre propre tranquillité d’esprit, vous pourriez quand même faire effectuer des tests.
Diète : La base de l’alimentation doit être un mélange pour perruches de haute qualité, comme celui-ci, avec une bonne variété de graines et très peu ou pas de graines de tournesol. Un excès d’articles riches en graisses et en huiles entraînera l’obésité, de graves problèmes de santé et une mort précoce.
Les galahs mangeront également du millet en spray. Les aliments verts sauvages constituent une part importante du régime alimentaire et peuvent inclure les herbes de semis, les pissenlits (jeunes plantes entières), le laiteron lisse (jeunes plantes entières), le rumex de semis et, bien sûr, le mouron des oiseaux. Le céleri, la carotte, les petits pois en gousse, l’épi de maïs, le maïs doux et les haricots verts peuvent également être proposés, ainsi que les fruits habituels.
Dans la nature, les galahs se nourrissent de petites graines qu’ils passent quotidiennement des heures à chercher sur le sol. Dans la ceinture de blé de l’Australie occidentale, les grains de céréales tels que le blé, l’avoine et l’orge, constituent les trois quarts de leur alimentation pendant la majeure partie de l’année. Ces grains, de préférence trempés ou germés, constituent une excellente nourriture pour les galahs en captivité.
SAVEZ-VOUS QUE… ?
Les galahs se sont hybridés avec des cacatoès blancs. L’hybridation doit être découragée — mais dans les volières australiennes où plusieurs espèces sont maintenues ensemble, des hybrides se sont produits.
Lectures recommandées : Behavioural Ecology of the Galah par Ian Rowley (1990), ISBN 0 949324 27 2.
Cockatoos in Aviculture par Rosemary Low (1993), ISBN 1-903995-05-1
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