Classement des équipes NBA – Classement offensif 2021

Comment lire le classement offensif des équipes

Chaque équipe est comptabilisée, que vous le regardiez par conférence ou dans toute la NBA. Chaque équipe aura un classement basé sur son rang dans sa conférence ou dans la ligue. Si les Lakers se classent au 27e rang pour le pourcentage de réussite à trois points, le chiffre 27 indique leur classement dans la ligue. Maintenant, en regardant les classements, vous allez voir beaucoup de couleurs. Le vert signifie qu’ils sont dans les dix premiers de leur ligue, le jaune est dans les dix moyens, et le rouge est dans les dix derniers de la ligue. Une équipe peut se classer parmi les cinq meilleures en termes de points, mais avoir des difficultés dans divers domaines offensifs. Il est rare qu’une équipe présente une telle différence entre les points marqués et l’évaluation offensive, mais cela arrive. C’est là que le volume peut l’emporter beaucoup plus lourdement sur l’efficacité.

TS% est un excellent moyen d’évaluer l’efficacité d’une équipe pour les tirs. Il mesure les lancers francs, les tirs à deux points et les tirs à trois points et les pondère à leur valeur. En rassemblant tout cela, vous allez voir comment une équipe tire globalement et avec quelle efficacité elle marque également. Les équipes vont fonctionner différemment en fonction de leurs compétences. Une équipe peut ne pas être une forte équipe de tir à trois points, ce qui serait également montré dans TS%, mais ventilé, vous pouvez voir où sont leurs forces.

Vous pouvez ventiler la vitesse à laquelle une équipe joue par rapport au reste de la ligue avec la colonne de rythme, et comment les équipes gèrent leurs préférences de tir. Houston a été un top des équipes de tir à trois points ces dernières années. Le tri par tentatives de tir à trois points permet de voir quelles sont les équipes qui dominent le plus les tirs à trois points et comment leurs attaques sont gérées. Cela montre également qui n’évolue pas dans l’engouement pour les trois points.

Ce à quoi excellent les meilleures offensives

Vous avez peut-être entendu parler des offensives de style européen ou des offensives triangulaires de l’époque des Knicks de Phil Jackson, où cela n’a pas du tout marché. Nous avons tendance à examiner quatre domaines clés d’une attaque pour savoir comment ils sont utilisés. Tout d’abord, le rythme est l’une des principales raisons pour lesquelles la NBA marque autant de points de nos jours. La plupart des équipes se concentrent sur le rythme et les tentatives, car plus il y a de tentatives, plus les chances de marquer sont grandes. Le rythme des attaques varie toujours du haut en bas de l’échelle, les équipes jouant en dessous de la moyenne de 100, mais nous voyons un nombre croissant d’équipes dépasser cette marque de 100 chaque saison. De nos jours, beaucoup d’offensives plus fortes poussent à un rythme plus élevé. Ceux qui ne poussent pas le rythme peuvent encore être efficaces, mais cela met plus de poids sur leurs chiffres d’efficacité.

Les mouvements des joueurs et du ballon ont tendance à être corrélés les uns aux autres. Par exemple, les Golden State Warriors étaient l’une des meilleures équipes pour faire circuler le ballon, mais c’est le mouvement de leurs joueurs qui a rendu cela possible. Une passe supplémentaire peut faire beaucoup de chemin, et vous aurez de bonnes sélections de tirs qui en découlent. Alors que ces équipes de Warriors avaient certains des meilleurs tireurs de la planète, cela a rendu les choses beaucoup plus faciles, le processus global de leur attaque était complètement désintéressé. Le mouvement du ballon est une belle chose à regarder, et les équipes qui se classent plus haut dans les passes décisives produisent un basket efficace.

La sélection des tirs est certainement un aspect clé de la façon dont les équipes sont dirigées. Daryl Morey, le GM des Houston Rockets, a construit une attaque axée sur les tirs au rebord et les tirs à trois points. Son côté analytique lui a donné l’idée de prendre des tirs rapprochés efficaces, et de ne pas se contenter de tirs à deux longue portée. En théorie, c’est une décision intelligente, et nous avons vu qu’elle a porté ses fruits puisque Houston a été l’une des meilleures attaques de ces dernières années, et a accéléré l’ère du small-ball sans position. Cela étant dit, ils ont leurs moments où le tir à trois points n’est pas là et ils luttent sur un match ou même une série.

Comment le rythme a un effet sur les statistiques offensives

Le rythme est en hausse après une décennie stagnante d’une approche plus défensive et lente. Nous revenons à ces saisons de championnat des Lakers, des Pistons et des Celtics dans les années 2000, et les choses étaient tout simplement plus lentes à l’époque. Nous avons vu plus de jeu post-up, beaucoup de ballon ISO, et aussi beaucoup de grands hommes dominants. Beaucoup de choses ont changé ces dernières années, avec moins de jeu ISO, plus de mouvement de balle, et des équipes beaucoup plus petites. Le rythme et l’espace ont été le modèle pour la plupart des offensives ces derniers temps, et cela nous a donné quelques changements dans la façon dont les statistiques offensives ont regardé récemment.

Les trois points sont un domaine qui a été corrélé avec un rythme plus élevé. L’attaque de style run and gun est plus en jeu car les équipes essaient d’attraper les équipes en transition, mais les trois points sont simplement en hausse en général parce qu’ils sont un tir plus intelligent qu’un deux longue portée. Houston nous a donné cet exemple, et d’autres équipes ont commencé à suivre. Le nombre total de tentatives de tirs va être corrélé avec le rythme, car nous constatons souvent que certaines des équipes ayant le plus grand nombre de tentatives de tirs au but sont également en tête avec le rythme. Maintenant, vous pourriez voir une équipe qui a un rythme plus faible avec des tentatives de field goal plus élevées, et cela peut être dû à leur style de jeu, car ils n’ont pas beaucoup de tentatives par des layups et des dunks.

Le rythme peut également avoir un effet légèrement négatif sur les turnovers. Une équipe qui pousse haut dans le rythme sont également plus enclins à des turnovers en transition, et sera juste globalement avoir une quantité plus élevée de turnovers parce qu’ils produisent plus de possessions sur le côté offensif. Les points sont évidents lorsqu’il s’agit du rythme et de la façon dont il se traduit dans les statistiques. Les équipes qui ont un rythme plus élevé marquent plus de points grâce à leur capacité à générer plus de possessions et d’occasions de marquer. Les tentatives de lancer franc sont également une autre statistique à prendre en compte lorsque le rythme est pris en compte, ils se rendent à la ligne beaucoup plus.

Une statistique qui n’a pas exactement eu une corrélation cohérente avec le rythme est le nombre d’assistances. Ceux-ci sont encore partout en termes de la façon dont nous pouvons les voir. Cela tend à juste être plus impliqué avec le mouvement de balle et les chiffres d’efficacité globale quand il s’agit de tirer aussi. Avec le temps, nous pourrions voir cela changer, mais pour l’instant, c’est là que se trouve la corrélation.

Efficacité Vs. Volume

Lorsque nous décomposons une attaque, nous examinons deux ensembles de chiffres, les statistiques d’efficacité et les statistiques de volume. Qu’est-ce qui est le plus en corrélation avec une attaque forte, et aussi qu’est-ce qui permet à une équipe de gagner des matchs ? Si l’on considère le pourcentage de réussite global, plus ce chiffre est élevé, plus il n’est pas nécessairement lié au nombre total de points par match, mais il permet d’obtenir un bon classement offensif. Le pourcentage de tirs à trois points est lui aussi largement lié aux tentatives, ce qui se traduit par une meilleure chance de marquer des points. C’est pourquoi nous avons vu des équipes tirer plus de trois points par rapport à n’importe quel moment dans l’histoire de la NBA.

Les tentatives nous en disent un peu plus sur la production de points. Plus il y a de tentatives, mieux cela semble, surtout quand il s’agit de trois points. La quantité de tentatives à trois points a été plus étroitement corrélée avec les points par match au cours des dernières saisons. Le nombre total de tentatives de tir au but est fortement coordonné avec le nombre de points marqués dans un match. Se rendre à la ligne de lancer franc est également important, et en regardant les tentatives de lancer franc, elles sont souvent corrélées avec des chiffres de lancer franc plus forts dans l’ensemble, et elles sont également liées aux points globaux marqués dans un match.

En regardant l’ensemble, les tentatives devraient être pondérées plus que l’efficacité quand il s’agit de savoir comment une attaque va marquer. Cependant, l’efficacité va toujours être un effet fort. Et si l’on regarde au niveau de chaque match, l’efficacité aura un poids plus important. Dans le cas d’une équipe comme Houston, si une série de trois matchs de playoffs est marquée par une efficacité moindre, ces tentatives n’auront aucune importance si l’autre équipe est plus efficace. Tout au long d’une saison, ces moyennes jouent davantage, et le fait de tirer à 36% à trois points et de prendre plus de tentatives sera un atout majeur. Il sera intéressant de voir, au fur et à mesure que les données affluent, comment tout cela fonctionne dans une nouvelle ère offensive.

Les meilleures offensives de l’histoire de la NBA

Le sport du basket-ball a tellement changé au fil des ans, et nous avons vu plus de données analytiques sortir ces dernières années pour façonner les offensives, mais aussi pour nous dire comment voir une offensive en succès. L’ère des trois points est bien vivante et certains anciens, comme Charles Barkley, n’apprécient toujours pas la façon dont le jeu est pratiqué. Le jeu n’est pas aussi lent qu’avant, et certainement pas aussi physique qu’avant non plus. Mais au cours de l’histoire, nous avons vu beaucoup de grandes offensives prendre forme.

Dès que Shaquille O’Neal est entré dans la ligue, nous avons vu de nombreuses offensives prospérer avec lui. Au début de sa carrière, lui et Penny Hardaway ont dominé le côté offensif du Magic d’Orlando. Ils ont obtenu un taux d’efficacité offensive de 115,1 cette saison-là, soit une moyenne de 115 points par 100 possessions. O’Neal marquait en moyenne 29 points par match, tandis que Hardaway en marquait 20,9. Ils disposaient également d’un ensemble de tireurs réguliers avec Brian Shaw et Nick Anderson. Certains diront que Reggie Miller était en avance sur son temps, et il l’était certainement. Ses tentatives de tir à trois points étaient beaucoup plus nombreuses que celles de la plupart des joueurs de la ligue, et pourquoi ne le seraient-elles pas, il était excellent. Mark Jackson a fait en sorte que tout cela fonctionne, mais des noms comme Jalen Rose et Chris Mullin étaient aussi des grands noms qui pouvaient marquer.

Certains des plus grands sont sortis des années 1990, et bien sûr, Michael Jordan en a renvoyé beaucoup chez eux lors des playoffs. Le Jazz de l’Utah était l’une des meilleures équipes dans l’ensemble, mais a échoué la plupart des saisons. John Stockton et Karl Malone étaient l’un des meilleurs duos du jeu. Stockton restera dans les annales comme l’un des meilleurs passeurs de tous les temps, mais Malone était également une force. Bien sûr, les Bulls ont dominé cette saison historique de 1995-96, avec une évaluation offensive de 115. Ils ont également remporté 72 matchs cette année-là. Jordan a marqué en moyenne 30 points par match cette saison-là et a tiré 43 % à trois points et 49 % sur le terrain. Scottie Pippen a également apporté sa contribution, ainsi que quelques autres noms remarquables. Cette équipe des Boston Celtics de 1987-88, dominée par Larry Bird et Kevin McHale, est également l’une des meilleures offensives de cette époque.

Les Phoenix Suns ont eu de grandes offensives au cours des années. Steve Nash a fait partie de quelques-unes d’entre elles, mais aussi lors de son passage à Dallas, il a dirigé l’une des meilleures offensives de tous les temps. Lors de la saison 2002-03, l’évaluation offensive était de 110,7, et ils ont gagné 60 matchs. Dirk Nowitzki s’illustrait sur le terrain, avec une moyenne de 25 points par match. Il y avait aussi Michael Finley qui était un élément négligé de cette équipe. Pour en revenir aux Suns, leur saison 2006-07 était incroyablement rythmée et Nash était une force en transition. Il y avait aussi beaucoup de tireurs d’élite et de grands joueurs capables de courir comme Marion et Stoudemire. Les Suns de la saison 2009-10 étaient également électriques. Dans l’ensemble, ces équipes des Suns et des Mavericks des années 2000 ont établi de nombreux records en termes d’attaque et ont servi de modèle à la façon dont le jeu est pratiqué aujourd’hui. Nous avons vu les Rockets mettre en place des périodes d’attaque dominantes, et Golden State, avec des tireurs comme Kevin Durant, Klay Thompson et Stephen Curry, était également un vrai régal. Une autre mention honorable serait les Kings au début des années 2000.

Question sur le classement des équipes de la NBA &Réponse

• Qui a la meilleure attaque de la NBA en 2021 ?

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• Qui était l’équipe de la NBA ayant le plus haut score en 2021 ?

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• Qui est la meilleure équipe de tir en NBA ?