Évaluation de phase II de l’AHCC pour l’éradication des infections par le VPH

Critères d’éligibilité

Participantes féminines âgées d’au moins 30 ans.

Critères d’inclusion : – Les femmes de plus de 30 ans qui ont un test positif au VPH et une cytologie normale/négative, des cellules atypiques, des ASCUS ou une dysplasie cervicale CIN1 ou CIN2 dans les trois mois précédant l’entrée dans l’étude. – Les femmes doivent avoir subi 2 autres tests positifs au VPH avec une cytologie normale/négative, des cellules atypiques, des ASCUS ou une dysplasie cervicale CIN1 ou CIN2 – 1 de plus de 6 mois et pas plus de 18 mois avant l’entrée dans l’étude – 1 de plus de 24 mois avant l’entrée dans l’étude. – Les femmes en âge de procréer doivent avoir un test de grossesse urinaire négatif dans les 7 jours précédant le début du traitement. – Les patients doivent présenter des fonctions hématologiques, rénales et hépatiques adéquates, comme l’indiquent les analyses effectuées au cours des 12 derniers mois : ANC >/= 1 500 cellules/mm3, plaquettes 100 000 >/= cellules/mm3 ; clairance de la créatinine>/= 60 ml/min (estimée par l’équation de Cockcroft Gault), bilirubine totale, SGPT, SGOT et phosphatase alcaline = 1,5 fois la normale. – Les patientes en âge de procréer doivent accepter d’utiliser des méthodes de contraception efficaces (contraceptifs oraux, préservatifs, etc.) pendant la durée de l’étude. Critères d’exclusion : – Antécédents d’infarctus du myocarde au cours des 6 derniers mois, angine instable, ICC ou hypertension non contrôlée (> 140/90). – Femmes ayant un diagnostic actuel ou antérieur de cancer – Femmes ayant un diagnostic actuel de dysplasie cervicale CIN3 – Femmes enceintes ou allaitantes. – Les femmes ayant des antécédents d’hépatite (auto-immune, A, B ou C) ou un antigène positif – Les patients ayant des antécédents de troubles psychiatriques importants (schizophrénie, bipolarité, psychose) ou de crises d’épilepsie non contrôlées. – Les patients présentant des comorbidités médicales importantes, à la discrétion du gynécologue principal. Y compris les conditions immunosuppressives (c.-à-d. VIH+, arthrite rhumatoïde, etc.) ou la prise de médiations de modulation immunitaire (c.-à-d. immunosuppresseurs) – Les femmes qui ont pris de l’AHCC au cours des six derniers mois. – Les femmes qui prennent actuellement d’autres compléments alimentaires à modulation immunitaire. – Les patientes qui ont subi une hystérectomie (hystérectomie supracervicale autorisée)

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